Vous avez dit ninache ?

Je n'ai jamais été une grande fana de mode. Petite, l'achat de mes tenues devait être validé par ma maman. Elle : "On voit ton nombril avec ce haut, tu crois vraiment que c'est une tenue pour aller à l'école ?" Moi : "euh...on ne voit pas mon nombril, juste un tout petit bout de ventre !". Je ne résistais pas longtemps et finissais par acceptez, résignée, la robe à froufrou mi tibia qu'elle n'avait déniché. Pour être classe, ça, j'étais classe, y a pas à dire. Je ne renie pas cette époque, bien au contraire. Tout ca pour dire que je n'avais pas de look spécial, à part celui de la petite fille modèle.
Cela fait juste 2 ans que je commence à m'intéresser à la mode. Mon boulot dans la presse féminine doit y être pour quelque chose. Je prends plaisir à m'habiller, à changer de look, à oser. Côté code de couleur, j'opte pour la sobriété : noir, blanc, gris. J'adore !

Mon magasins préféré : Zara, même si je pioche chez les créateurs (Paul and Joe, les petites..pour les fringues). Je reste sur des basiques mais j'ai décidé d'investir dans des "classiques". A savoir la pièce signée intemporelle. Et j'ai plutôt fait fort. Cet été, parce que c'était la saison, j'ai acheté ma doudoune Moncler. Modèle classique évidemment, couleur noir. Juste magnifique. Bon c'est vrai qu'elle coûte un bras mais je me suis dit quitte à investir dans une doudoune, autant que ce soit dans la crème des doudoune. Et pour moi, rien n'est plus beau qu'une moncler.

Côté sac, mon homme m'a offert un birkin de Hermès, que j'aurai biêntôt. (pour celles qui connaissent la marque, il faut passer commande, on ne ressort pas de la boutique avec un birkin à la main, pas de ça chez Hermès).

Ma nouvelle pièce obsession, une paire d'escarpin Louboutin. Parce que c'est le créateur de chaussure par excellence avec la semelle rouge qui dégage une fémininté et une sensualité sans pareil.
Noël approche, elles sont en tête de ma wish list.

Ah, la nouvelle technologie, elle nous aura, moi, je vous l'dis !
Avez-vous déjà essayé de comptabiliser le nombre de personnes que vous croiser accrochées à leur mobile ? Non, moi non plus, ça tombe bien. Parce que j'ai beau être calée en calculs, je n'ai pas que ça à faire !
En tous les cas, ils sont nombreux, très nombreux, pouf, au moins tout ça les accros au téléphone. Et je ne suis pas la dernière. Où que j'aille, mon GSM me suis. Même dans les endroits so private, il n'est jamais loin.
Pourquoi, parce que tous les jours, j'attends le coup de fil qui changera ma vie de journaliste freelance. Tous les jours j'espère ce coup de fil qui ne vient pas...pas encore (je reste optimiste). Celui qui me premettrait de continuer mon job que j'adore en sortant de chez moi, de m'installer tous les matins devant un bureau, côtoyer des collègues, bref, celui qui me permettrait de me sociabiliser professionnellement parlant.
Bon, faut que j'vous laisse, je dois aller charger mon portable.

Quoiqu'aujourd'hui, je serai totalement dans mon droit de râler quisque'au cas où vous ne seriez pas au courant, c'est la fête internationale de la mauvaise humeur, na !

Petit coup de gueule légitime donc à tous ces gens qui vous demandent "quand est ce que vous faite le 2 ème?" Parce qu'apparemment, ça dérange beaucoup de gens de n' avoir qu'un seul enfant.
Et si j'ai pas envie tiens, d'avoir un 2ème enfant ? Et si en plus de ne pas en avoir envie, je ne peux pas avoir un 2ème enfant : pas le moment côté professionel, pas la place de le caser dans mon 65m², pas envie de plomber mon Codevi (oui je sais on dit Livret Développement Durable maintenant), bref pas envie de changer ma vie. Car j'adore ma vie, mon quotidien, mes petites habitudes et j'aime encore plus ce trio-qui-me-comble-de-bonheur que l'on forme avec les 2 hommes de ma vie. Mon grand homme et mon petit, je vous aime !!!!

C'est dingue comme une râlerie peut finalement se transformer en déclaration d'amour ;-)

Bonne journée !

Allez ca y est...je fais mon grand come back après une année sans avoir mis les pieds sur mon blog. Manque de temps, manque d'envie, pas grand chose à dire ou trop de pensées qui se bousculent pour être posées clairement, je ne sais pas...posséder un blog est un exercice facile...en témoignent les milliers de blogs qui composent la blogosphère...l'alimenter de façon régulière, c'est autre chose. J'aime les défi...je ne veux pas rester sur un échec ou sur un goût d'inachevé ma ptite Dame. Aloos c'est décidé : Bloggueuse je redeviens !!!

Brrr...la semaine dernière, il faisait un de ces froids de canard !
Rien de tel pour influencer la shoes addict que je suis et me conforter dans ma volonté d'offrir à mes petits petons des chaussures dignes de ce nom : UGG.
Vous savez, ces bottes tout droit venues d'Australie, qui, avant que les "stars" (et moi ;-)), ne se l'approprient, servaient à réchauffer les pieds des surfeurs, après une séance de surf.

Voilà donc pour la petite histoire. Revenons-en donc aux faits.
Je me suis donc mise en quête de ces chaussons australiens : sur le net, rien de bien concluant (les frais de port m'ont ramenée à la raison); et dans les boutiques multimarques de Paris, bilan négatifs : nada, rien, quedal, je vous dis. Mais je ne m'avoue pas vaincue aussi rapidement. Je me rappelle les avoir vues dans une boutique rue saint denis, vers chatelet. J'entre donc dans la boutique. Je ne les vois pas. Je demande au patron s'il lui reste des UGG, on ne sait jamais. Il me répond qu'il ne lui en reste que 2 paires, au sous sol. Il revient avec ma pointure (Youpi), soldée à 50% (youpi youpi !). Et me voilà avec mes petites UGG aux pieds. Elles sont géniales, hyper confortables (je les garde à la maison, c'est dire). Je les bichonne et les emmène en balade le week end, et le soir pour un ciné ou une petite virée.

Certains détracteurs diront qu'elles font des pieds de yéti, je leur répondrais qu'avec elles, mes pieds sont au paradis ...

Ben oui, j'ai craqué..je ne voulais pas laissé pas une si bonne affaire.  Gaspard a eu raison de moi, et ça donne ça :

Et ça aussi :

Alors, vous en pensez quoi ?

Je suis une fana de chaussures. Vous avez dû vous en rendre compte. Une jolie paire d'escarpins peut réhausser la plus basique et la plus classique des tenues. Une belle paire de chaussures, ça habille !
Le net est un bon terrain de chasse pour dénicher une belle cible et faire une bonne prise. Comprendre par là, trouver les chaussures qui tuent sans flinguer son compte en banque (et sans risque de se faire exécuter par son banquier ou son chéri). Il y a quelques mois, sur rushcollection, j'ai trouvé une splendide paire d'escarpins à brides vernies Gaspard (Yurkievitch, vous aurez compris). J'ai décidé de prendre mon mal en patience en attendant les soldes. Seulement voilà, le Jour J, il ne restait plus ma pointure (40). Anéantie par ce nouvelle (non, j'exagère... quoique?) je me suis faite à l'idée que ces zolis souliers ne seront jamais miens. Snif

C'était sans compter mes balades shoppingesques on the web. Vous savez, c'est un peu comme ces rencontres fortuites : vous marchez tranquillement dans la rue quand, au détour d'une rue, vous croisez votre meilleure amie d'enfance, que vous n'avez pas revue depuis belle lurette, ma fleurette. Et ben pareil, même effet. Paf. Tout y était : surprise (oh mais, mais tiens, ça faisait longtemps dis donc, je vous avais déjà oubliées). Evidemment, j'ai noté leurs coordonnées (adresse, prix...) au cas où. Mais là, je dois avouer que j'hésite à les inviter chez moi (peur des représailles de mon homme). D'après vous, elles sont présentables ces chaussures ?

Ben c'est vrai quoi ! Faire un cake aux pépites de chocolat et au yaourt un mercredi après midi avec son fils, il n'y a rien d'exceptionnel la dedans. En fait si, il n'y a rien de plus exceptionellement bon que de partager avec son petit rejeton les délices de la cuisine. Parce que je suis une gourmande, j'adore cuiner. Et il paraît, non, JE suis une bonne cuisinière ! J'aime la cuisine de tous les horizons : orientale, française, chinoise, thaï... et bien sur antillaise (mes origines). Alors évidemment, je cuisine les plats à ma sauce. J'y ajoute mon grain de sel. C'est un régal.

Je vous fais partager ma recette du Cake aux pépites de chocolat et au yaourt :
2 oeufs
180 grammes de farine
140 grammes de sucre
1 yaourt
1 sachet de levure
80 grammes d'amande en poudre
100 grammes de pépites de chocolat
10cl d'huile

En mélangeant le tout et après cuisson, vous devriez obtenir ça :

Bon appétit !

Les soldes, c'est fini. Même si le jour officiel de fin est loin derrière nous (samedi dernier), les boutiques continuent leur déstockage. Petite séance shopping, juste pour voir (comportement a banir pendant les soldes, surtout si on a besoin de rien). Evidemment, j'ai fait chauffer la carte bleue. Dégainer 2 fois mais pas de grosses sommes. Une fois chez Naf Naf, où je n'ai pas l'habitude de mettre les pieds. Bilan : une paire de compensés et un short. Puis chez Zara, bilan : un pull noir et une ceinture.

Petit aperçu :

Pull Zara (3,95 E) et ceinture (3,95 E)

Short Naf Naf (8 E)

Compensées Naf Naf (15 E)

Grande première ! A partir d'aujourd'hui, tous les mercreddis et les samedis seront désormais consacrés aux aventures de Ninache. Une plongée dans la vie de cette journaliste et dans le monde impitoyable du journalisme et de la mode.

7h45, le réveil sonne. Ninache se lève péniblement. Direction la salle de bain pour une douche tonique à la crème lavante sans paraben évidemment, parce que c'est cancérigène. Et puis c'est tellement plus chic d'acheter sa "crème lavante" dans une parapharmacie que dans le rayon gel douche du monoprix. C'est encore plus chic de la payer 17 euros plutôt que 5 euros en promo, le lot de 3. Toute propre et fraîche, elle s'enroule dans un drap de bain puis se fige devant le miroir. Elle s'obseve en silence. Scrute des yeux les moindres détails de ce visage angélique. Ses yeux marrons aux longs cils, ses petites rides, son petit nez mutin, sa bouche pulpeuse et bien dessinée, ses sourils d'un noir intense, qui lui ouvre le regard. Opération maquillage : elle ne verra plus ce visage pendant plus de 12 heures. Elle ne se reconnaitra plus pendant près de 12 heures, elle sera une autre : Ninache, journaliste chez In Vogue, le magazine féminin numéro 1.